Forgotten History for Dragon lost

Voici donc l'histoire de Sora comme vous l'avez compris, dans tous les détails, révélez au grand jour 8D
Premier Chapitre = Naissance jusqu'à Dragonneaux, quotidien & pensées.

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<< Broken smile, red tears >>

Pourquoi moi ? Pourquoi je suis né ? Pourquoi nous sommes né plutôt. Pour mourir, c'est ça ? Non, pour qu'il meurt. Je n'étais pas destiné a ça, mais lui, déjà tout son chemin était tracé depuis le début, juste a cause de cette ressemblance, de ce reflet de miroir devant moi, je voyais pourtant une chaîne rouge reliés nos deux pattes avant droite, pourquoi fallait - il qu'ils la brisent ? Qu'avions nous fait pour mérité ça ? Cette sentence, cette "tradition" cette malédiction imaginaire qu'ils avaient crée, pourquoi depuis des millénaires d'absence, ils avaient décidé ça ? C'était naturel, et pourtant porteur de malédiction d'après eux. Sommes nous une malédiction ? Surement, même papa et maman se pliaient sous les ordres des autres, ainsi que leurs opinions. Je me demande pourquoi j'étais le plus heureux des deux, ou peut - être le plus isolé. Je ne savais pas si c'était moi ou lui a la base qui devait être allongeait là dessus. Sur le milieu de cette pierre, au milieu d'un orage. J'avais tant rêver que l'on pourrait un jour se balader tous les quatre en face du soleil couchant, dans cette atmosphère apaisante, de bonheur. Non, il fallut que cela arrive. Encore, si cela avait était involontaire, mais non. Il l'avait fait, devant moi, devant mes yeux encore innocents et pourtant si ouverts. Nous étions si reliés, pourquoi le destin s'est montrer si cruel pour nous. Je nous vois encore, face a face en souriant, l'un plus que l'autre. Tu souriais plus que moi, pourquoi maintenant c'est l'inverse ? Je n'e savais rien a ce moment là, et pourtant ... J'aurais tant aimé que tu sois près de moi, encore aujourd'hui, a sourire. Tu étais ma seule lumière, la seule chance de pouvoir un jour être heureux. Pourquoi ? ...

J'avais, comme vous l'avez peut - être deviné, un jumeau. Nous étions deux jumeaux, et j'étais le plus mystérieux des deux. Nous étions nés ensembles, dans le même cri, sous le même toit, de la même mère. Un jour de pluie, malgré qu'il faisait étrangement très lourd. La tradition, la règle des sangs mêlés fut briser ce jour là, mais personne n'en sut rien. Nous étions un défaut, et pourtant, nous vivions quand même, bien différent l'un de l'autre a la naissance. Pourtant, quelque chose nous indiquez que nous étions lié, une chaîne rouge invisible, et pourtant là. Nous seuls pouvions l'a voir. C'est de là qu'est partit notre lien si serrés, se resserrant d'années en années. Nous nous entraidions malgré les impacts parfois difficile a digéré. Le premier fut un des plus beaux : Le rejet, de ses propres parents. Quand nous avions assez grandit pour devenir dragonneaux, ils découvrirent la vérité. C'est de là que tout a commencé. Notre naissance était comme une punition pour ne pas avoir respecté la règle, nous étions des sortes de malédiction vivante, même si je trouvais que seul moi avait l'air d'être un diable a forme de dragon. Mon frère, mon jumeau lui ressemblait a un ange. Un ange tout droit sortit du paradis pour veiller sur moi, sur nous deux. Mais l'ange devait bel et bien un jour disparaître de la surface, comme l'avait prédit le destin. Se ne fut pas moi, mais bien lui qui disparut, et la chaîne que je voyais maintenu, se balançait dans le vide, la moitié d'un maillon manquant terminant ce destin si ...

Je me demandais encore pourquoi nous étions en vie, alors que nous étions bel et bien a l'intérieur de ce clan qui menait une malédiction fausse, une sentence horriblement ... Moi et lui nous nous regardions souvent, j'étais Sora, il était Aros, j'étais sa moitié, il était la mienne. Nous nous pouvions, même tout petit nous passés l'un de l'autre. Nos parents ne nous aimer pas, mais cela ne m'atteignez pas, pourtant bien que je versai des larmes de douleurs a chaque fois que trois traits se dessinaient sur mon corps fin et minuscule, tenant a peine sur mes quatre pattes. Ses trois grands traits, que les lames aux bouts des pattes de Papa traçait comme un coup de crayon sur une feuille blanche, se remplissait rapidement de rouge, alors que je tombais a terre, vidé de mes forces bien que je ne marquais rien de tout ça sur mon visage. Lui a chaque fois avait plusieurs sentiments, beaucoup de sentiments incrustés. La peur, la douleur, la tristesse. Nous nous soignons a tour de rôles le plus souvent, au moins une fois par jour. A force, nos écailles étaient sales, bien que dans l'eau les écailles tâchés retrouver leurs couleurs sables. Maman fit un jour arrêter de sourire mon frère, mais je ne pus pas le voir plus longtemps. Mon visage se peignai pour la première fois d'un grand douleur, alors que quelque chose s'injecta dans ma vue. Je n'aimais pas voir mon frère comme ça et pourtant je l'avais vu quelques secondes a peine. Quelque chose de chaud coula sur mes yeux, mes deux billes fluorescentes, dénués de pupilles d'une couleur cyan. Celle de mon frère étaient aussi rouge que le liquide qui sortait a chaque fois que quelque chose nous heurtaient. Il n'avait pas de pupilles comme moi, et c'était notre seul différence : Nos couleurs de yeux. Mais a ce moment là, je crois que mes yeux ressemblèrent a ceux de mon frère, même si je ne le vu pas. J'heurtai quelque chose de froid, de dur, c'était surement la paroi de la caverne où nous étions. Je m'écroulai lentement a terre, alors que mon front ouvert déversai ce liquide si vital pour nous. On aurait put voir mon cerveau, mais je sentis plus que mes pensées s'évaporèrent, se désintégrant dans l'air alors que je sombrais dans un sommeil profond... C'était le quotidien.

Deuxième Chapitre = Dragonneaux, évènement.

Si j'avais su que cela allez se passez comme ça, je l'aurais protégé, nous nous serions protégés. Mais les malheurs n'arrivent qu'aux plus faibles, que jumeaux a peine en âge d'adolescence. Nous tenions sur nos quatre pattes, nous courions même mais jamais nous n'aurions put allez bien loin, sans savoir comment utiliser nos souffles, enfin, je savais l'utilisé, mais pas lui, et mes souffles n'étaient pas très puissant, je devais les améliorer. Je devais devenir plus fort. Je voulais des fois hurler après les autres, j'avais envie de tous détruire, mais a quoi bon ? Cela n'arrangera rien a ce que je ne pouvais pas faire. Si j'avais été plus fort, je me serais demander si je les auraient tués avant, si je l'aurais protégé s'ils ne s'étaient pas tromper. De toute façon, ça devait être comme ça et pas autrement, les démons devait mourir, les anges devait vivre. J'étais destiné a ça, je devais disparaître. Je pensais avant, avant même de naître ce que j'allais devenir peut - être. J'étais devenu le plus mauvais des deux. Mes yeux bleus, pourtant attirant, étrangement mystérieux repousser les gens, les dragons que je venais a rencontrer. Ma taille avancé leur faisait aussi peur qu'à moi. Quand est ce que mes os s'allongeaient ? Pourquoi je grandissais autant d'un seul coup pour ne plus grandir après ? Mon frère aussi était comme ça. Je clignai des yeux sur lui, et penchait la tête dans le sens averse que lui, nous étions des miroirs vivant, inversé. Je ne savais pas trop comment le prendre, mais il est sûr que si j'avais su ça, tout se serait passer beaucoup plus différemment.

Nous devions nous préparé pour l'éclipse qui avait lieu ce soir, qui devait prendre des teintes rouges. D'habitude, nous restions a l'intérieur, mais cette fois s'était bizarre. Tout le monde nous regardaient quand nous nous baladions dans le camp, la cité, le village. Ils ne souriaient pas, ou alors tristement. Nous ne comprenions pas, mais nous avions peur de ce qui aller se passait. Le soir arrivant, ils nous demandèrent de fermer les yeux. Nous avions sur le corps des dessins bizarres, identiques placés au même endroit. Nous fermions nos yeux, et quand les adultes disparurent quelques instants, je sautai par dessus mon frère afin d'inverser les places. Je ne savais pas pourquoi, pour jouer ? Peut - être. Non, ce n'était pas mon genre, j'avais un .. pressentiment, quelque chose qui me pousser a protégé mon frère qui tremblait en signe de peur, bien que nous n'ouvrions pas les yeux. Je me collai a lui pour essayer de le rassurer, sans ouvrir les yeux. Même dans le noir, je pouvais voir la lune, notre chère lune. Elle était rouge-orange, comme lors de ses éclipses ici. Mais rouge, pourquoi pas grise ? Aucune idée. Je n'osais pas le faire voir, ni le dire, mais la peur me prit dans la gorge. J'avais envie d'ouvrir les yeux pour voir où nous marchions, mais l'on nous interdisais ça. L'adulte qui marchait devant, nous ne l'avions pas vu beaucoup de fois, et ça nous fit froid dans le dos. Je n'osais pas dire grand chose, mais je sentais trembler mon frère a côté de moi, jusqu'à que ...

Nous nous étions séparé. Un dragon, fort m'avait tellement violemment empoigné que je n'ouvris même pas les yeux, me roulant en boule. Je fus jeter sur une table de pierre grise, sur le côté, sonné. J'avais peur, et je ne savais pas quoi faire, j'avais été séparé de mon frère, j'avais encore plus peur. Sous mes paupières, je cherchais dans le noir de mon regard bleu quelques mouvements a travers, mais ce ne fus que mon imagination qui m'indiqua des petits lumières bougeant rapidement, avec des formes qui n'avaient rien a voir, déformé, bizarre. Mes oreilles pourtant ne me trahirent pas. J'entendis un cri étouffé de mon frère, ses larmes tombaient lourdement sur le sol dans un échos qui se résonnait dans ma tête. Cette fois, c'est la panique qui me saisit. Un hurlement, il me hurlai d'ouvrir les yeux avant qu'un coup sec de claquement ne retentisse, puis des cris. J'ouvris les yeux. La scène, la dernière vision que j'eut me fit un choc. Mon jumeau, emprisonner de deux gros pattes, dessous a plat ventre en se tortillant, les "gardes" improvisés qui enfonçaient leurs griffes dans sa chair, entre ses écailles. Je ne compris pas, mais quand un scintillement me fit tourner la tête, je n'eu qu'un mot a dire, qu'un groupe de mots a dire. Je compris de suite en me voyant allongé au milieu de l'assemblé de dragons, dont mes parents qui pleurer en se mordant les babines. Un, noir aux yeux jaunes, était devant moi, avec ses griffes couleur argent qui rayonner sous la lune de sang. Un des dragons maléfiques connus comme ... Bourreaux. Le coup vint comme par enchantement, très vite, trop rapidement.

" Si j'avais su .. "

Ce fut là mes dernières mots, un hurlement me déchira le coeur, comme un grand coup sec de griffe me déchira de la gorge jusqu'à l'estomac. Mon sang afflua très vite. Un énorme cris parcouru l'assemblée. le bourreaux recula en ouvrant des yeux écarquiller. Il fixait mes yeux bleus, et non rouge. J'étais Sora et non Aros. L'ange aurait dût être exécuté a ma place, mais j'avais eu le réflexe d'échanger de place. Ce réflexe l'avait sauver, et en faite, j'en étais content, bien que ce ne fut pas ça sur mon visage. Mon sang coulant sur le pierre, du bord de mes coins de ma gueule, mes yeux tremblaient sous la douleur, alors que mon visage fut un sentiment de peur, de choc et tordus par la douleur. Ma vision se trouvait flou, mon âme ne me quittait pourtant pas. Je revus la chaîne rouge, elle était brisé, les maillons pendaient a terre, rasant le sol dans un bruit de chaîne a mes oreilles, comme a ceux de mon frère. Il hurlait, se débattait. Désolé p'tit frère, j'aurais voulu rester avec toi. Ma tête tomba lourdement et rebondit sur la table de pierre où mon sang coulait toujours. Les cris continuèrent, des chuchotements aussi. Ma tête se vida peu a peu, même si je restais, même si mon âme, mon esprit restait a l'intérieur. Ma vue s'assombrit, et le froid m'envahit. Je me demandais encore comment j'avais eu ce réflexe, dans une dernière pensée qui s'envola. La lune rouge orangé, était maintenant bien rouge, et venait de témoigner de cet tromperie trompé.

Troisième Chapitre = Dragonneaux, fin de l'évènement
[Vision de Aros]

Mon frère était mort, sous mes yeux. Et je ne voulais pas y croire. Je voulais retourner dans le passé. << Tout va bien >> m'avait - il dit. Des larmes commencèrent a perler le long de mes écailles, luisantes a ces tracés d'eau salée. Mes yeux vides s'écroulèrent comme pour oublier ce présent qui me déchirer. N'entendrais - je plus jamais ta voix ? To, petit rire camouflé que tu avais seulement avec moi ? Où t'ais - tu perdu .. Je voulais te rejoindre, mais tout le monde m'en empêcha, car un jumeau suffisait. Et je commençais a croire que finalement, ces gens n'étaient plus que des démons. Leurs pattes griffus me serrer jusqu'à me brisé, et je m'écroulais au sol quand ils me lâchèrent, bien que tous restèrent là. Comment ça, c'était pas ce qui devait se passé ? Pourquoi tous ses chuchotements sur moi !? J'étouffais pour la première fois de ma vie. Je ne voyais plus que des démons ayant assassiné mon frère, ma moitié d'âme qui pourtant, tenait toujours a l'intérieur du corps tiède déchiré, les écailles rougies. J'avais honte de mon peuple. Ils n'étaient plus rien maintenant, a part des âmes noires aux yeux rouges luisants. J'hurlais un << ASSASSINS ! >> fort, extrêmement fort pour que tout les dragons ici présent l'entende, cette voix qui déraillé de rage et de haine. Mes yeux se plissèrent vers les regards luisants de ses démons. Je n'e pouvais plus de les voir, il fallait que je les chasse de ma vue. Non pas les chassés, je devais les anéantir pour que finalement je sois tranquille pour mon frère. Mais en parlant de lui, quelque chose retentit dans tous mon corps. Un drôle d'appel me résonna en tête. << Aros ... >>

Je semblais me téléporté dans ma tête dans un espace vide, où le sol n'était que noir, plaque transparente, et c'était comme une sphère noire, mais pas complètement vide. Il y avait quelques ossements ici et là, formant une allée direct pour un trône, un très grande trône surélevé sur des marches d'argent. Et sûr ce trône ... Mon frère. Mais différent. Ses yeux bleus comme des sphères tombaient du ciel rayonnaient dans cet univers sombre, mais ses cornes étaient plus allongés, comme celles de cet ancien monstre, le Destructeur. Ses crocs de petits dragons dépassaient de sa bouche, ressemblant a ceux d'un dragon adulte, voir même plus, et ses griffes aussi. Il avait cette aura dangereuse, très dangereuse, mais j'avançais quand même rapidement vers lui, alors qu'il m'accueilli avec le sourire. C'était bizarre mais sa voix me fit un déclic, je m'arrêtais net. C'était lui. Cela avait toujours était lui. Le faucheur, en personne. Cet être qui en faite n'était qu'un partie de l'âme de Sora. Il s'était réveillé, a cause de cette mort subite. Il me sourit donc, et s'approcha de moi doucement, majestueusement. Il me glissa quelques mots a l'oreille, surprenant, avant que tout ce monde ne s'aspire lui même, et m'éjecte a nouveau dans la réalité.

Mon frère était toujours là étendu, et je réfléchis aux paroles du Faucheur a peine une seconde. Je brisais d'un seul coup, avec quelques sorts les bras de ceux qui me maintenait. Je glissais quelques paroles fusantes dans l'air, et en quelques secondes j'étais aux côtés du très cher Sora, très cher frère. Des paroles fusèrent encore, et d'un seul coup un silence de mort se fit. Je concentrais une aura autour de moi, et en quelques instants, j'aspirais l'âme encore dans le corps de mon frère. Oui, j'encaissais toute les douleurs présente dans son âme, et la puissance de sa partie nouvelle, que je venais de découvrir. Le Faucheur lui même. Cela qui prenait des vies, et qu'il lui soufflait a nouveau. Mais je me perdis. Dans tout ça je me perdis, m'endormant, mon frère prit la place, et je rentrais dans sa vision. Le corps ouvert disparut en paillettes semblables a des lucioles brillant d'une lumière rouge, explosant. Les yeux de Sora s'ouvrirent a nouveau, et mes yeux de sang furent remplacé a nouveau par ses deux sphères tombaient du ciel. Luisante, bleu, vide. En quelques instants, des lames sortirent de partout, et dans une volée de sang, giclant partout de rouge et d'écailles, tout se termina enfin dans cette île maudite par la lune de sang.